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par Louis Lequette
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- Ce sera l'année de la mise en
place de Transmontagne.
- Une complicité entre élus et
affairistes qui allait coûter cher aux
contribuables.
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- A peine aux commandes le
président du conseil général, président du SMAP,
Pierre Rinaldi, se faisait attribuer, une indemnité
de 14.000 francs, et pour qu'il ne soit pas jaloux
faisait attribuer, à Hervé Dufresne, son secrétaire
la somme de 2000 francs.
- Ces sommes s'ajoutaient à celles
royalement attribuées à Transmontagne, qui assurait
la direction déléguée.
- Jamais la gestion n'aura coûtée
si cher!
- Le personnel à qui on demandait
des efforts, (les collaborateurs de la Satis)
s'interrogeait !
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- Aucun élu depuis 1980, date
de la transformation de la Satis en SEM, n'avait
perçu une indemnité.
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- Le temps du bénévolat, du don au
service de la collectivité était révolu.
- L’esprit de la Satis, l'esprit de
la Société évoluait.
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- Les 4 mousquetaires avaient un
besoin de communiquer, de se montrer avec "la
tutelle" pour bien démontrer la crédibilité des
opérations en cours.
- L'agrandissement du lac de
Costebelle, par la Satis, donnait l'occasion aux
mousquetaires de se montrer et de s'attribuer les
mérites.
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- Jacques Borel du Méridional avait
toujours défendu la droite, et ceci ... par métier.
- C'est ainsi qu'avec sa plume
acérée, il avait attaqué durement Honoré Bonnet, qui
se disait socialiste, et opposé à la mairie
d'Uvernet. (apolitique)
- Par ses pamphlets, il
provoquait des divisions, des rancœurs, des
blessures, qu'il fallait essayer de panser avec
intelligence.
- Pas si facile.....car même une
non réponse peut blesser...
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- Jacques Borel était tout
naturellement du côté du conseil général RPR, de ses
directives!
- Il en rajoutait sans toujours
vérifier les sources fournies par les membres de ce
clan.
- Il lui fallait vendre du papier
en s'opposant au Provençal!
- Le Provençal et le Méridional,
étaient deux quotidiens qui marchaient de paire, sur
les mêmes rotatives ….et sous l'œil avisé de Gaston
Deferre.
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- Honoré Bonnet, en apposant son
nom aux cotés des 4 mousquetaires allait enfin
connaître par cette nouvelle alliance, la clémence
de la plume de Jacques Borel.
- Borel avait écrit, ...ce qui est
étonnant à Pra loup, c'est que H.Bonnet, de gauche,
défend le promoteur de Alexandris et l'actionnaire A
Gandoulf, et que le Maire Louis Lequette, qualifié
de droite, défend les intérêts de la collectivité
-
- Et puis d'un coup, le maire
d'Uvernet devenait Dèsormais sa cible....
- Ses appréciations superficielles
auraient nécessité d'être approfondies pour dévoiler
les intérêts cachés personnels!
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- Les acteurs du sauvetage étaient
salués, ils visitaient leur conquête.
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- L'article du méridional du 29
décembre 1993 était révélateur du « nouvel ordre »
qui se mettait en place pour conquérir la mairie
d'Uvernet, devenue gênante.
- L'ordre de nomination des
« huiles » dans cet article, dévoile la volonté de
promouvoir les uns ou d'effacer!
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Article du Méridional du
29.12.93
- La présence, citée, de « Gaston
et B Vaginay » représentant l'association « l'avenir
Pra loup » sentait la campagne municipale.
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- A court terme il fallait museler
le Maire et son conseil, que l'on jugeait « trop
vigilants », embarrassants, car percevant les
déviations en cours, car défendant les actionnaires
de la Sem Satis, et donc les intérêts de la commune.
- Mais il fallait surtout à long
terme mettre en place un nouveau conseil municipal
aux ordres du conseil général RPR, afin de l'avoir
sous contrôle.
- Un conseil capable de soutenir
sans faille et avec souplesse, pour « bétonner »
l'édifice mal construit dans la rapidité juridique,
un conseil associé afin de soutenir le
développement de Transmontagne.
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- C'était un problème de Société.
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- Il n'y avait pas que " l'esprit
de la Satis " qui évoluait , mais « l'esprit de la
Société » et en particulier de l'éthique de cette
démocratie communicative qui avait besoin de
beaucoup d'argent pour les campagnes!
- Besoin de commissions.....voire
de retro-commission
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- La presse relatait pourtant les
déviations, mais sans grand succès.....
- La chronique politique de Patrick
Jarreau, dans Le Monde du 2 avril 2005, relate cette
évolution depuis 1990 : « pas un élu local, pas un
chef d'entreprise, pas un ingénieur, pas un
comptable public n'ignore... »
-
Article
Le Monde :
marchés publics, chronique politique
- Des magistrats s'inquiétaient au
point de lancer un appel à la lutte contre la
corruption.
- D'autres …..
-
Article: sept magistrats européens lancent un appel
– Lire -la justice ou le chaos par Denis Robert
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- Dès le 11 janvier, le conseil
général, invitait les candidats sélectionnés sur
mesure, « à déposer une offre pour la gestion et
l'exploitation de la station de Pra Loup »
-
- Rappelons que la commission de
dépouillement, présidée par Henri Savornin, n'avait
retenu que les candidats liés par intérêt à
Transmontagne. (associé, administrateur ou en voie
d'être repris)
- Les Deux Alpes Loisirs,
administrateur à Transmontagne.
- La SAC de Chamrousse en cours de
cession à Transmontagne.
- La Sem Ubaye non constituée,
représentée par le conseil général, qui s'écrivait
donc à lui même.....
-
Lettre du Smap, 11
janvier 1994
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- Dès les 27 janvier et 3 février
les deux privés envoyaient leurs propositions.
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- Monsieur Truchetet , de la SAC
de Chamrousse, allait entrer en procédure avec
Transmontagne qui ne respectait pas le paiement
prévu au contrat d'achat.(tribunal de Grenoble)
- Mais avant la discorde une
réunion se tenait en ses bureaux.
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- Cette réunion de mise au point de
la stratégie de reprise de Pra loup se tenait le 26
janvier 1994, à Grenoble, en présence du DG,
Desroches.
- Gausset y dictait les conditions
pour la reprise de Pra loup.
- Le Directeur d'exploitation,
Daniel Massé, prenait les notes, il était chargé de
communiquer les conditions aux Deux Alpes par fax.
- Ces propositions obéissaient aux
instructions de Gausset afin que l'offre ne puisse
gêner, celle de la Sem en voie de constitution et de
son futur subdélégataire, Transmontagne ...
- Ce fax du 26 janvier permettait
aux deux privés...d'envoyer le 27 « leurs
propositions »
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- Daniel Massé était ami du
président Truchetet, mais il allait faire rapidement
l'objet d'une procédure de licenciement et ceci, dès
la reprise de Chamrousse par Gausset de
Transmontagne.
- Il avait eu tort d'être présent,
de prendre des notes, de connaître ce montage de
corruption.
- Gausset se méfiait, il ne le
trouvait pas assez fiable.
- Lors d'une négociation, son
silence, (pour une durée de cinq ans), fût acheté
1.100.000 francs.
- Il déposa par écrit devant le
juge de Digne. (sans suite)
-
Offre par lettre du
27/01 et 3/02 des sociétés de Chamrousse , des Deux
Alpes
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- La communauté des communes
délibérait sur sa participation à la Sem Ubaye
développement. Transmontagne faisait partie de la
Sem.
- Opérateur, associé,
subdélégataire, que de liens pour insatisfaire la
réglementation.
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- Je faisais remarquer que cette
participation était inopportune, qu'elle amènerait
l'obligation selon l'article 101 sur les sociétés, à
une vigilance particulière des commissaires aux
comptes.
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- Transmontagne était retirée.
- J'aurais peut être mieux fait de
me taire.
- J'en déduisais que la vigilance
des commissaires aux comptes n'était donc pas
souhaitée...
- Communauté des communes
...objet affaire Satis !!société d'économie mixte
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- Le 3 octobre 1994 la Sem Ubaye
était constituée.
- Il faut lire la publication de la
constitution de la Sem pour comprendre les nouvelles
alliances qui se tramaient.
- La liste des associés, des
représentants ne peut tromper sur les buts
poursuivis.
- L'opposition minoritaire du
conseil général ne pouvait agir.
- Les changements de camp
éclairaient sur les personnalités, leur but était
enfin dévoilé!
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Les petites affiches du 3
octobre 1994, n° 2411
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- Comme prévu, la Sem Ubaye, allait
être désignée comme délégataire du service public
pour la gestion du domaine skiable de Pra Loup. Elle
désignait Transmontagne comme subdélégataire.
- Le rapport au comité syndical du
19 décembre 94 condense les actions qui avaient été
prises durant l'année pour mise en conformité
apparente des règles de la loi Sapin, sous le
contrôle bienveillant du Préfet.
-
- Sapin pouvait allait se faire
« Rhabiller sur mesure » car tout était en
ordre….apparemment... car la chronologie était
accablante !
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- Le rapport au comité syndical du
19.12.94 éclaire parfaitement sur le montage. Ce
rapport était interne.
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Rapport du comité
syndical
- L'extrait du journal Le Monde, ci
dessus doit être rappelé « ....pas un élu local, pas
un … n'ignore.. » Pouvait on ignorer en Ubaye se qui
se tramait ?
-
- Malgré un chiffre d'affaire
anormalement bas durant l'hiver 93/94,
l'exploitation dégageait un E.B.E suffisant pour,
avec les dotations extérieures, permettre de
réaliser quelques travaux.
- L'expérience prouvait que selon
le CA nous pouvions dégager un Cash Flow entre 17 et
21 % de ce CA.
- Le lac de Costebelle que la Satis
avait réalisé, était agrandi pour avoir davantage de
réserve pour la production de neige de culture et de
la réserve incendie.
- Cela permettait une nouvelle
démonstration...de satisfaction politicienne...
-
- Mais enfin.... la communication
sur Pra loup redevenait enfin positive
-
Article l'or blanc contre les années noires du 13
novembre
-
- L'état de la route d'accès à Pra
loup était lamentable. La route ressemblait à un
champ de labour. Sur proposition du nouveau
conseiller général de Barcelonnette, les travaux
étaient repoussés.
- Je voyais là comme beaucoup une
façon de mécontenter l'électorat pour favoriser le
changement de municipalité.
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- Le syndicat intercommunal
Allos-Uvernet (SIAU) n'avait plus de raison d'être.
- Il fallait assurer l'unité de
gestion de l'espace lumière que nous avions créé, ce
que n'avait pas prévu la communauté....
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- La commune d'Uvernet acceptait
cette cession au SMAP pour une valeur symbolique,
sous réserves. Ces réserves sont énumérées dans
l'article ci joint pour que la population soit
informée.
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Article: dissolution du
SIAU
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- Le député Delmars avait tenu à la
présence de son attaché parlementaire lors de la
réunion du conseil municipal, pour éviter tout
dérapage. Il exigeait que la commune soit sous sa
tutelle.
- Son attaché devait porter la
bonne parole pour que la dissolution soit admise.
-
- Cette cession des équipements des
Agneliers, cette donation au SMAP, s'ajoutait à
celle de la Satis réalisé le 1.12.1993. Toujours
pour une valeur symbolique. Un franc... mais sous
certaines réserves mentionnées dans l'article de
presse.
- Aucune de ces réserves ne sera
tenue, la nouvelle municipalité allait bientôt se
démunir de tout ...s'appauvrir pour favoriser
Transmontagne ….
- L'équilibre budgétaire ainsi
rompu, elle pourra se plaindre de devoir payer....
les équipements du passé!
-
- Il est intéressant de noter que
Maitre Mazan notaire à Digne à exigé de préciser
que les biens de la Satis, vendus de gré à gré au
SMAP, pour un franc symbolique devaient être
déclarés pour l'enregistrement pour une valeur
minimum de 16.750.000 de francs.
-
- Il fallait satisfaire le service
des impôts
- Ce montant évalué au plus bas
prix, démontrait cependant si nécessaire que les
actionnaires de la Sem Satis, dont la commune, était
floués, spoliés.
-
- Dans une interview au Monde du 11
juillet 1994 on pouvait lire, sous le titre
« Je constate un affaiblissement
de la morale publique » de Guy Porte.
- « Il ne faut surtout pas
réaliser des SEM pour échapper, comme on dit, aux
pesanteurs de la comptabilité publique..... Nous
avons reçu des menaces... des réseaux de corruptions
organisés... rattachés à de grands groupes... un
combat dangereux »
-
- Nous étions en train de
soumettre la montagne à la plus grande escroquerie
depuis le développement du ski.
- Françoise Arnaud avait alerté
l'opinion avec son livre « la neige empoisonnée » En
la relisant on constate que c'était une enfant de
cœur.
-
- Le 24 octobre 1994 le comité
syndical se réunissait à Digne. Diverses
délibérations étaient prises pour légaliser des
décisions, après l'exécution des marchés et travaux.
- Présent... mais... il ne fallait
rien dire et même ne rien entendre!
-
- Jean Paul Therminarias et moi
même ne devions pas être dans les confidences.
-
Réunion du 24 octobre
1994: ordre du jour
- En effet, nous apprenions par la
suite que les délibérations les plus délicates
étaient prises de manière dite « rattachées » hors
notre présence, hors de la présence des délégués
gênants.
-
- Les Anciens de la Satis
m'informaient que le Clos du Serre était vendu non
seulement à vil prix... mais que toutes les charges
qu'il devait, étaient effacées.
-
- Nous y reviendrons.
- C'était des délibérations dites
rattachées, des faux en écriture publique.
-
Délibération
Schaeffer
et Transmontagne
- Naturellement, l'ordre du jour ne
portait pas sur ce que l'on ne pouvait aborder
devant tous les membres pour ne pas attirer
l'attention.
-
- Je demandais une fiche
hypothécaire pour avoir la certitude de cette
cession.
- Cette mutation apparaissait.
L'acte était passé en l'étude de J Chabre. Il avait
donné un pouvoir. Prudence ou manque de courage ? Il
pensait ainsi qu'il s'exonérait, de poursuites
pénales. Alors que cette fausse délibération ne
mentionnait que la cession des murs, il soldait la
licence IV au quart du prix. Au faux public
s'ajoutait donc un faux privé...
-
Pouvoir
Chabre
-
- Mais que faire ! Il fallait avoir
en mains ces délibérations, et pour cela il fallait
attendre pour agir que le pouvoir du département se
moralise... change ...et en attendant il fallait se
taire.
- A quoi sert de poursuivre ceux
qui passent encore pour « biens braves ! » des
sauveteurs!
-
- J'informais le conseil municipal,
(sauf sur ces délibération rattachées), voulant une
transparence totale, et que les conseillers
puissent se faire une opinion ou pour certains «
agents double peu fiables », pour tout répéter.
- Le sous préfet recevait copie
pour la légalité, et pouvait faire également
remonter l'information.
-
Réunion du conseil
municipal du 1° et 12 décembre 1994
-
- Ce conseil allait me demander de
m'abstenir lors de la réunion prévue à Digne.
- Cette réunion fût annulée.
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- Nous allions être convoqués à
l'Office du Tourisme de Pra Loup, le 19 décembre.
- L'ordre du jour précisait
uniquement, « avis motivé de la commission quant au
mode de dévolution du marché concernant les filets
de haute protection »
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- L'ordre du jour ne comportait,
aucune mention sur les dispositions à prendre sur
Transmontagne, qui devait gérer, durant l'hiver déjà
commencé.
- Il était temps de vouloir
légaliser!
-
- Le conseil d'administration de la
Sem, avait déjà tout avalisé.
-
Conseil
d'administration de la Sem Ubaye du 24 octobre
-
- Alors sous la pression de Delmars
la délibération fût prise, après beaucoup
d'hésitations.
- La question n'était pas à l'ordre
du jour, la majorité n'était pas requise, Goirand de
Transmontagne était présent concerné...
- Tout était réuni pour entacher
une délibération de nullité
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- Lanfranchi tint tête à Delmars,
déclarant « qu'il ne voulait pas servir de fusible »
- Delmars demandait une suspension
de séance.
- Lorsqu'ils sont revenus tous les
deux, la délibération était adoptée, sans débat, par
ordre.
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Réunion du 19 décembre
1994
- Le préfet prudent allait quand
même attendre quarante jours pour légaliser ce faux.
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- Et pourtant : il n'avait pas
connaissance du projet de procès verbal qui
dévoilait les arrangements pour démontrer que la
majorité était requise ! (projet manuscrit envoyé
par Fax à Dufresne!)
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- La perceptrice, Madame Boizard,
assistait...
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- Plus qu'un faux en écriture...
c'était une délibération inexistante... nous y
reviendrons.
- Le rapport fait par Madame
Boizard à ses supérieurs fût sans effet.
- La déposition qu'elle fit ensuite
à la chambre régionale des comptes, aurait du amener
cette dernière à déférer cette affaire devant la
justice.
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Rapport de Me Boizard à
la CRC
- Diverses délibérations devaient
être prises lors de cette réunion, elles étaient
toutes illégales.
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- La station devait tourner....pour
l'hiver déjà commencé...
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- Le 19 avril 1995 le contrat
d'objectif, prévu dans le cadre du contrat de plan
état région, qui devait compenser les pertes de la
commune et lui permettre d'investir était enfin
signé.
- Trop tard, volontairement trop
tard, pour qu'elle ne puisse en profiter avant les
élections de juin et satisfaire l'électorat.
- Ce contrat signé par la Mairie (Lequette),
la région (Gaudin), le département (Rinaldi), la
communauté (Lanfranchi), le Smap (Rinaldi), la Sem (Lanfranchi),
la SA Transmontagne (De Coincy) et pour copie
conforme (Joëlle Lieutier, l'attaché chef de bureau)
- ( * 18 signature du contrat
d'objectif)
- Que venait faire Transmontagne
dans ce contrat ? Participer ?
-
- Transmontagne était partie
prenante... elle allait profiter de cette manne.
- Quarante huit millions de
programme de marché... acquis.
- Ce fût une satisfaction pour la
commune, mais il ne fallait pas que le conseil en
place puisse utiliser cette manne... que son aura
s'en trouve bénéficiaire....
- Il fallait attendre son
changement!
-
- Nous verrons comment ces fonds
furent utilisés.
-
- Nous verrons que....
-
- « ce n'est pas le Chemin qui
est difficile, c'est le difficile qui doit être le
Chemin » Abdou Diouf
-
- C'est un choix...
-
Notre choix
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